Dans l’aire géoculturelle caribéenne, il n’est pas rare que la musique ou la danse se voient attribuer une fonction de résistance. Cette fonction peut se comprendre comme un héritage de la période esclavagiste pendant laquelle les musiques et les danses servaient autant à différencier les Africains les uns des autres que les Européens des Africains. Cette notion de résistance est notamment associée aux quadrilles, bèlè et gwoka de Guadeloupe et de Martinique. – See more at: http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=12353#sthash.n9y5dM6H.dpuf
Dans l’aire géoculturelle caribéenne, il n’est pas rare que la musique ou la danse se voient attribuer une fonction de résistance. Cette fonction peut se comprendre comme un héritage de la période esclavagiste pendant laquelle les musiques et les danses servaient autant à différencier les Africains les uns des autres que les Européens des Africains. Cette notion de résistance est notamment associée aux quadrilles, bèlè et gwoka de Guadeloupe et de Martinique.
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