Archives pour la catégorie Actualités et faits culturels

Quelques faits de l’actualité culturelle d’ici ou d’ailleurs en résonance avec les problématiques, sociales et culturelles, qui guident l’action d’ANBABWA ARTS

Edition 2014 du festival Alimenterre

[cml_media_alt id='1368']visuel2014-alim-petit[/cml_media_alt]Le Festival de films est l’événement central de la campagne ALIMENTERRE, coordonnée par le Comité Français pour le Solidarité Internationale (CFSI) et mise en œuvre par 700 acteurs régionaux et locaux formant le réseau ALIMENTERRE .

Du 15 octobre au 30 novembre, en France, en Europe, en Afrique, et au Canada, il invite à des débats avec des spécialistes sur les enjeux agricoles et alimentaires Nord – Sud, à partir d’une sélection de films documentaires.

Pour en savoir plus :

http://www.festival-alimenterre.org/

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Souscription pour l’édition prochaine d’un ouvrage consacré au Lasotè.

Lasotè

Un modèle d’économie alternative
L’agriculture paysanne du Nord-Caraïbe
Approche socio-anthropologique

A propos de l’ouvrage

Madame, Monsieur,

Les auteurs – Juliette SMERALDA et Isambert DURIVEAU – ont le plaisir de vous informer de la publication prochaine d’un ouvrage consacré à une forme d’agriculture très valorisée à la Martinique : celle du coup de main, qui est connue dans le Nord Caraïbe sous la désignation de Lasotè (et ailleurs, sous celle de koudmen, lafouytè, etc.)
Le projet d’écrire un livre sur cet objet a vu le jour en 2007. Les recherches effectuées dans la perspective de produire ce travail documenté ont exigé du temps et de la patience, l’ambition de l’ouvrage étant de structurer un savoir anthropologique, ethnographique, sociologique, culturel et cultural sur une technique du travail de la terre qui est bien plus qu’une simple technique : un système, que nous déclinons en termes de « civilisation lasotè ».
C’est la formule monographique qui a été privilégiée dans l’approche de la problématique traitée. Il s’agit de décrire quelques-uns des traits les plus caractéristiques du lasotè, qui nous font saisir « l’esprit » de cette civilisation.
La civilisation – entendue comme culture ‒, comporte deux aspects, selon Sorokin (1964): l’un intérieur, l’autre extérieur.
L’expérience intérieure relève du « domaine de l’esprit, de la valeur, de la signification » ; l’extérieur « se compose de phénomènes physiques ou organiques : objets, évènements, procédés, etc., « qui incarnent, incorporent, réalisent ou intériorisent l’expérience intérieure. »

Le titre de l’ouvrage sous-tend une approche comparative du lasotè. Il oppose en effet, de manière implicite, deux systèmes de production aux finalités diamétralement opposées. Le système plantationnaire et le système lasotè, qui ne se sont pas concurrencés sous le régime de l’esclavagisme, le premier ayant été souverain, sans avoir réussi à éliminer le second. C’est par ce procédé comparatif qu’est mis en lumière à la fois la structure de l’agriculture coloniale, dont le produit est destiné à l’exportation, et celle de l’économie vivrière, destinée à l’autoconsommation essentiellement.
La forme culturale du lasotè, qui est le soubassement même du rapport à la terre et au travail libre des Martiniquais est répandue dans toute la Caraïbe et même au-delà.
Nous vous proposons, si vous le souhaitez, de souscrire dès à présent à cet ouvrage unique en son genre, soigneusement documenté et mis en page. De cette façon, vous apporterez votre aide à sa publication, afin qu’il soit diffusé le plus largement possible, de manière à diffuser les savoirs qui circulent sur ce type d’agriculture, sur ses origines et sur sa signification culturelle. Les tirages dépendront des sommes recueillies ; celles-ci étant destinées au financement de l’ouvrage qui compte quelques 500 pages, de nombreuses images et photos, ainsi que des annexes.
Pour cela, il suffit de nous renvoyer le bulletin de souscription joint, accompagné du montant forfaitaire de 35€ – en indiquant le nombre d’exemplaires commandés à :
c/o Isambert Duriveau
360 Chemin Vié Mazi
97221 Le Carbet

Ce montant pourra être revu à la baisse, si les souscriptions le permettent.
Par avance, nous vous remercions chaleureusement et vous adressons, Madame, Monsieur, nos salutations les plus sincères.
Juliette Sméralda & Isambert Duriveau

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Quatrième édition des films de la diaspora noire (FIFDA)

4ème Festival International des Films de la Diaspora Africaine – Paris

du 5 au 7 septembre 2014

 HomeAgainCCHLa diaspora africaine est un concept fédérateur qui permet de créer des liens entre personnes issues de l’Afrique et de sa diaspora, menant ainsi à une meilleure connaissance et compréhension des similarités et différences qui existent à travers des croisements de cultures, langues et nationalités.

L’Association Festival des Films de la Diaspora Africaine (FIFDA) a été établie à Paris en 2009 comme association de la loi de 1901.  Elle a pour  mission de présenter au plus grand nombre des films issus de l’Afrique et de sa diaspora et de renforcer le rôle des réalisateurs africains et d’origine africaine dans le cinéma mondial contemporain.

FIFDA présente un cinéma inédit et souvent négligé qui met de l’avant le regard des personnes africaines et de la diaspora africaine sur la société.

Après trois années de succès et un ciné-club inauguré en janvier 2013, le FIFDA revient pour sa quatrième édition avec de nouveaux films qui représentent la richesse et la diversité de l’Afrique et de sa diaspora.

Pour en savoir plus :

http://fifda.org/

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Musique, danse et résistance en Guadeloupe et en Martinique

Dans l’aire géoculturelle caribéenne, il n’est pas rare que la musique ou la danse se voient attribuer une fonction de résistance. Cette fonction peut se comprendre comme un héritage de la période esclavagiste pendant laquelle les musiques et les danses servaient autant à différencier les Africains les uns des autres que les Européens des Africains. Cette notion de résistance est notamment associée aux quadrilles, bèlè et gwoka de Guadeloupe et de Martinique. – See more at: http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=12353#sthash.n9y5dM6H.dpuf

Dans l’aire géoculturelle caribéenne, il n’est pas rare que la musique ou la danse se voient attribuer une fonction de résistance. Cette fonction peut se comprendre comme un héritage de la période esclavagiste pendant laquelle les musiques et les danses servaient autant à différencier les Africains les uns des autres que les Européens des Africains. Cette notion de résistance est notamment associée aux quadrilles, bèlè et gwoka de Guadeloupe et de Martinique.

Pour en savoir plus :

http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=12353

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L’afaka : l’écriture d’un peuple marron

L’afaka est une écriture inventée il y a un siècle au Surinam pour transcrire une langue créole, issue de l’esclavage et du marronnage. Son histoire à rebondissements est riche d’interrogations historiques, linguistiques et artistiques. – See more at: http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=12373#sthash.RhmBjYOp.dpuf

L’afaka est une écriture inventée il y a un siècle au Surinam pour transcrire une langue créole, issue de l’esclavage et du marronnage. Son histoire à rebondissements est riche d’interrogations historiques, linguistiques et artistiques….

Pour en savoir plus :

http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=12373

L’afaka est une écriture inventée il y a un siècle au Surinam pour transcrire une langue créole, issue de l’esclavage et du marronnage. Son histoire à rebondissements est riche d’interrogations historiques, linguistiques et artistiques. – See more at: http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=12373#sthash.RhmBjYOp.dpuf
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